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Ciel Voilé

La Banque Mondiale prête plus aux pays qui confinent plus

2 Août 2020, 15:40pm

La Banque Mondiale prête plus aux pays qui confinent plus

La Banque Mondiale et le FMI sont dénoncés : L'aide pour le COVID est conditionnée par l'imposition d'un confinement extrême, de couvre-feu

Tyler Durden – Le 28 juillet 2020 – Traduction Ciel voilé

Via GreatGameIndia.com,


D'énormes prêts étrangers sont accordés à des nations souveraines par la Banque mondiale, le FMI et d'autres organismes similaires. Mais les conditions accompagnant ces prêts sont rarement communiquées par les gouvernements à leurs citoyens.


Un cas récent au Bélarus a mis en évidence les conditions imposées par ces organisations pour l'octroi de prêts pour COVID-19. Le président de la Biélorussie a révélé que l'aide de la Banque Mondiale pour le coronavirus est assortie de conditions visant à imposer des mesures de confinement extrêmes, à modeler leur réponse au coronavirus sur celle de l'Italie et même à modifier les politiques économiques qu'il a refusées comme étant "inacceptables".


Des conditions supplémentaires qui ne s'appliquent pas à la partie financière sont inacceptables pour la Biélorussie, a déclaré le président biélorusse Alexandre Lukachenko en parlant des prêts extérieurs lors d'une réunion pour discuter des mesures de soutien à l'économie réelle par le système bancaire, a rapporté l'Agence télégraphique biélorusse, BelTA.


Alexandre Lukachenko a demandé aux participants à la réunion comment se déroulait l'octroi de crédits étrangers à la Biélorussie.


«  Quelles sont les exigences de nos partenaires ? »

 

Il a été annoncé qu'ils peuvent fournir au Bélarus 940 millions de dollars en financement dit rapide. Le chef de l'Etat a demandé comment les choses se passaient ici.


En même temps, il a souligné que des conditions supplémentaires qui ne s'appliquent pas à la partie financière sont inacceptables pour le pays.


"Nous entendons les demandes, par exemple, de modeler notre réponse au coronavirus sur celle de l'Italie. Je ne veux pas voir la situation italienne se répéter en Biélorussie. Nous avons notre propre pays et notre propre situation", a déclaré le président.


Selon le président, la Banque Mondiale a montré son intérêt pour les pratiques de lutte contre les coronavirus en Biélorussie.


"Elle est prête à nous financer dix fois plus qu'elle ne l'avait initialement proposé en gage de reconnaissance pour notre lutte efficace contre ce virus. La Banque Mondiale a même demandé au ministère de la santé de partager son expérience. Pendant ce temps, le FMI continue à nous demander des mesures de quarantaine, d'isolement, un couvre-feu. Cela n'a pas de sens. Nous ne danserons sur la musique de personne", a déclaré le président.


Le Bélarus est l'un des seuls pays européens à n'avoir pas mis en place de mesures strictes de confinement de coronavirus. La situation de non restriction est telle que même les services non essentiels restent ouverts. La ligue de football du Bélarus est toujours en cours. La seule mesure de restriction que la Biélorussie ait prise jusqu'à présent est la prolongation des vacances scolaires.

Lukachenko est d'avis qu'un confinement complet était totalement inutile. De nombreux scientifiques de renom ont également exprimé des opinions similaires. Récemment, un médecin indien a démystifié le récit officiel sur le coronavirus. Il souligne que "le stress affecte la santé" et affirme que la peur n'est pas nécessaire car les gens finiront par développer une immunité naturelle à ce virus. Il est l'une des rares personnes à défendre l'opinion selon laquelle la vie doit se poursuivre sans interruption.


Le président du Bélarus n'est pas le premier à avoir exposé la pression exercée par les organisations internationales au milieu de la crise du coronavirus pour faire avancer leur programme.


Plus tôt, dans un développement choquant, le Président de Madagascar a fait une déclaration sensationnelle selon laquelle l'OMS lui aurait offert un pot-de-vin de 20 millions de dollars pour empoisonner le remède COVID-19 appelé COVID-19 Organics fabriqué à partir d'Artémisia.


Le président tanzanien a expulsé l'OMS du pays après que des échantillons de chèvre et de papaye se soient révélés positifs au COVID-19. Quelques jours après la décision tanzanienne, le Burundi a également expulsé l'équipe de l'OMS chargée des coronavirus du pays pour ingérence dans des affaires internes.


Il a également été révélé dans un rapport du renseignement humain intercepté que Bill Gates a offert un pot-de-vin de 10 millions de dollars pour un programme de vaccination forcée contre le coronavirus au Nigeria. Après quoi, une politicienne italienne a exigé l'arrestation de Bill Gates au parlement italien. Elle a également dénoncé le programme de Bill Gates en Inde et en Afrique, ainsi que les projets de pucer la race humaine par le biais du programme d'identification numérique ID2020.

 

 

Les liens dans l'article en anglais :


https://www.zerohedge.com/geopolitical/world-bankimf-exposed-covid-aid-conditional-imposing-extreme-lockdowns-curfews?fbclid=IwAR2shf5eWuJ0WJpOCf_XddK8kB88AkVN6Ew85PSn8Z35jz1dvhRz30IityQ
 


 

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La crise sanitaire, prétexte à plus de surveillance et contrôle

2 Août 2020, 12:11pm

Publié par Ciel Voilé

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Qui hacke le site de kla.tv ?

2 Août 2020, 12:10pm

Publié par Kla.tv

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Les 25 ans d'Amazon

2 Août 2020, 12:09pm

Publié par kla.Tv

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Pour l'interdiction des vaccins-OGM

2 Août 2020, 08:35am

Pour l'interdiction des vaccins-OGM

Dr Gonzo

Nous demandons la révision de la réglementation française et européenne relative aux OGM médicinaux à usage humain et vétérinaire, et l’interdiction totale de leur mise sur le marché.

La vaccination est un moyen efficace pour lutter contre les maladies infectieuses, et la politique vaccinale doit être poursuivie avec raison, en tenant compte des connaissances médicales et scientifiques, des recommandations internationales, des progrès technologiques et du principe de précaution, et en développant par ailleurs un service public de qualité, capable d’accueillir, d’informer, et de prodiguer les meilleurs soins possibles à tout citoyen, même en cas de grave épidémie.


 

Or, à la faveur de l’épidémie de COVID-19, les nouvelles technologies vaccinales issues des recherches en thérapie génique (génie génétique), dont l’utilisation était jusqu’alors cantonnée à la recherche ou au traitement de maladies rares, sont portées par l’industrie pharmaceutique comme des solutions novatrices et généralisables pour traiter les maladies, en intervenant au niveau génétique de l’organisme humain.


 

La vaccination classique, élaborée par Louis Pasteur dès 1885, est la technologie utilisée pour le développement de la grande majorité des vaccins actuellement sur le marché. Ils sont constitués de virus vivants atténués, c’est-à-dire rendus non virulents, qui simulent une infection naturelle et déclenchent des réponses immunitaires. C’est la capacité de notre organisme à garder en mémoire cette réponse immunitaire qui rend la vaccination efficace à long terme. L’atténuation du pouvoir pathogène du virus est obtenue par passage du micro-organisme sur des cultures cellulaires successives ou par voie chimique.


 

Depuis une dizaine d’année, malgré les restrictions sur les OGM imposées par les directives européennes, des vaccins-OGM (contre la grippe, la dengue, le choléra, ebola) sont mis sur le marché en UE sans que les citoyens européens, très majoritairement contre la présence d’OGM dans les cultures, l’alimentation et les médicaments, n’en soit informés par les pouvoirs publics.


 

Les techniques dites « de l’ADN recombinant » utilisées pour créer des OGM, végétaux ou animaux, servent également pour fabriquer des vaccins à partir de recombinaisons effectuées chez les virus et bactéries.


 

Selon Michel Georget, membre du Conseil Scientifique du CRIIGEN : Le Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique.


 

On retrouve pour ces vaccins à base d’organismes chimériques les mêmes problèmes que pour les végétaux : dissémination de gènes dans une population animale ou humaine avec le risque de recombinaisons incontrôlables.


 

L’exemple le plus connu des vaccins recombinants est celui des vaccins anti-hépatite B (GenHevac B®, Engerix B®, HBVax DNA® ou Recombivax®). Dans ce cas-là, on n’utilise pas directement le micro-organisme génétiquement modifié mais le produit qu’il génère. La technique consiste à faire exprimer par un système cellulaire (celui du patient) la protéine de surface du virus de l’hépatite B (HBs) grâce à un plasmide recombinant (de l’ADN du virus) introduit dans ces cellules.


 

Dans un dossier du Centre national d’information sur le médicament hospitalier (CNIMH) consacré aux vaccins contre l’hépatite B, il apparaît que ces vaccins contiennent entre 1 et 30 picogrammes d’ADN résiduel. Cet ADN provient aussi bien des cultures cellulaires (dont certaines, comme les cellules CHO, ont les caractères de cellules cancéreuses) que des manipulations nécessaires à la fabrication des plasmides recombinants. Ces impuretés d’ADN représentent des quantités non négligeables puisqu’un seul picogramme d’ADN représente un milliard de paires de bases. Le risque principal est de voir cet ADN s’incorporer au patrimoine génétique des receveurs et provoquer des mutations par insertion pouvant participer à l’apparition de cancers. Ce risque a d’ailleurs été évoqué dès 1987 par l’OMS dans un rapport d’experts sur « l’acceptabilité des cultures cellulaires pour la production de substances biologiques », rapport dans lequel on peut lire :


 

 « Un des grands problèmes est le risque de malignité que pourrait présenter à long terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s’il s’avère qu’il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière.


 

Il faut tenir compte de plusieurs points lorsqu’on fait ces estimations du risque.


 

Premièrement, tous les calculs sont fondés sur le postulat selon lequel le facteur de risque d’induction tumorale décroît linéairement avec la concentration d’ADN. Ce postulat n’est pas forcément exact, puisqu’une quantité d’ADN qui n’a aucun effet biologique mesurable lors d’un essai normalisé parce qu’elle est présente à une trop faible concentration, peut quand même avoir un effet dans certaines conditions ou sur certains organes ou tissus.


 

Deuxièmement, on ignore encore si le risque associé à des expositions répétées à de l’ADN agira de façon cumulative ou non.


 

Troisièmement, il faut envisager la possibilité que les préparations d’ADN qui n’induisent pas de tumeurs dans les systèmes expérimentaux puissent provoquer chez l’homme des modifications susceptibles d’accroître l’incidence de l’apparition de tumeurs après de longues périodes de latence.


 

Quatrièmement, les expériences conduites sur des animaux à courte durée de vie ne permettent pas d’évaluer les effets à long terme des séquences d’ADN acquises. » »


 

Source : https://criigen.org/les-vaccins-issus-dorganismes-genetiquement-modifies-2005/


 

Concernant les vaccins OGM dits « vaccin à ADN » et « vaccin à ARNm », ceux-ci fonctionnent sur le même principe que les vaccins à vecteur viral, excepté qu’ici l’information génétique, qui vient « coder » les cellules du patient pour leur faire produire telle ou telle protéine, est directement injectée sous forme de plasmide. Or, en l’état actuel de la recherche, nous ne savons pas comment l’ADN réussit à rentrer dans la cellule ; cependant, une fois à l’intérieur de la cellule présentatrice d'antigène, l’ADN est transcrit et puisque ses peptides sont reconnus comme étant étranger, la cellule va externaliser l’antigène du vaccin.


 

Sur les vaccins à ADN un rapport du Sénat français conclut que :


 

« en l'état actuel des choses, plusieurs problèmes se posent :


 

- si le plasmide étranger s'intègre à l'ADN de la cellule hôte en certains endroits, on ne peut écarter l'hypothèse qu'il active un oncogène, gène déclencheur de cancer ou, à l'inverse, inhibe l'action d'un gène suppresseur du cancer. Même si ce risque semble très théorique aux chercheurs, il doit être très rigoureusement évalué ;


 

- les connaissances des mécanismes entrant en jeu lorsqu'on injecte l'ADN doivent être approfondies. En effet, si l'on a la preuve que le plasmide pénètre bien dans le noyau des cellules musculaires, puisque la protéine produite est retrouvée à l'intérieur de ces mêmes cellules, on ne sait pas encore très bien comment le système immunitaire prend connaissance de sa présence. »


 

Source : https://www.senat.fr/rap/o99-020/o99-0206.html


 

Concernant les vaccins à ARNm, selon une étude publiée le 22 février 2019 dans le Journal of Transnational Medicine :


 

« Despite the above described adaptations to the IVT mRNA, the emergence of ADA (anti-drug antibody) responses and transient cytokines is still detectable and therefore hampering the clinical applicability of mRNA-drugs, especially when the mRNA has to be administered multiple times. »


 

Selon cette étude, le corps développe des anticorps contre le vaccin, le rendant potentiellement inutile, et provoque des réactions auto-immunes dont une des conséquences peut être le développement de tumeurs.


 

La Commission Européenne soumise aux lobbys chimiques et pharmaceutiques.


 

Le 10 juillet 2020, l’UE a ouvert la porte en grand aux OGM médicinaux en adoptant un règlement qui permet aux fabricants de vaccins contenant des OGM de se passer d’étude environnementale et sanitaire préalable, et de déroger à certaines règles sur les essais cliniques chez les humains, ceci afin d’accélérer le développement et la mise sur le marché de ce type de produit promus par l’industrie pharmaceutique. À la faveur de l’épidémie de COVID-19, l’industrie pharmaceutique est en passe de donner une nouvelle dimension à la commercialisation de ces produits pharmaceutiques constitués ou issus d’OGM. Cette nouvelle réglementation suivait une précommande de 400 millions de doses de vaccins par 4 États européens (France, Italie, Allemagne, Pays Bas) au consortium formé par les laboratoires Astrazeneca (GB) et Novasep (Fr)  pour un vaccin OGM dit « vaccin à vecteur viral » (constitué de virus OGM).


 

Réaction de Michèle Rivasi, eurodéputée EELV :


 

« Nous n’avons pas toutes les garanties de leur sécurité. Les dérogations accordées sont contraires au principe de précaution.


 

Je me suis opposée à ce texte car on enlève les garde-fous nécessaires à la protection de notre santé. Face à ces nouveaux vaccins, nous devons redoubler de vigilance. L’argument de la Commission européenne, à l’origine du texte voté aujourd’hui, disant qu’au vu de l’urgence Covid-19 il faut se passer d’études préalables sur la santé et l’environnement, n’est pas acceptable.


 

De plus ce texte est arrivé au Parlement européen sous forme d’une résolution d’urgence, sans débat ni audition en commission environnement, ni même de débat en plénière.


 

L’urgence, c’est surtout de ne pas se tromper en autorisant des produits dont la sûreté n’est pas évaluée. Les vaccins OGM actuellement à l’étude utilisent Crispr-Cas9, une enzyme qui fonctionne comme des ciseaux génétiques. Ces nouveaux vaccins n’ont jamais été évalués de façon complète.


 

C’est un incompréhensible cadeau fait à l’industrie pharmaceutique et un gros coup de canif porté à la directive européenne sur les OGM, protectrice de l’environnement et de la santé humaine. La directive sur les OGM est un rempart efficace qu’il faut absolument préserver.


 

Je refuse d’être complice d’une fuite en avant qui nous transforme tous en cobayes ! ».


 

Source : https://www.michele-rivasi.eu/a-la-une/vaccins-ogm-cest-non


 


 

• Pour conclure,


 

Outre les dangers pour la santé des individus comme pour les écosystèmes, les OGM représentent de fausses solutions qui ne visent en réalité qu’à être des produits rentables pour l’industrie, sans aucune considération éthique, sanitaire, ni écologique. Ils conduisent progressivement à la privatisation du vivant, à des modifications génétiques qui engendreront inévitablement des dégénérescences des organismes cibles, et par voie de conséquence, à l’extinction du vivant. Ils portent ainsi atteinte aux êtres vivants d’une manière inacceptable et irréversible. L’ADN, bactérien, végétal, animal, ou humain, devrait être inviolable, d’autant que la compréhension du fonctionnement du génome par les chercheurs est encore très faible, et les effets à long terme des modifications génétiques infligés aux êtres vivants, inconnus.


 

C’est pourquoi nous demandons la révision de la réglementation française et européenne relative aux OGM médicinaux à usage humain et vétérinaire, et l’interdiction totale de leur mise sur le marché.


 

Pour finir, évoquons les dérives qui ne manqueront pas d’advenir si de telles technologies génétiques deviennent le centre de notre philosophie médicale qui, doit on le rappeler, affirme ceci : 


 

« Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m'abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si on m'en demande, ni ne prendrai l'initiative d'une pareille suggestion ; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif. Je passerai ma vie et j'exercerai mon art dans l'innocence et la pureté. »


 

Un texte de Franck Noir sur l’aspect transhumaniste de ces nouvelles technologies vaccinales, une idéologie qui vise à « améliorer » l’humain via sa modification génétique et son artificialisation, très en vogue chez les milliardaires des GAFAM et de Wall Street :


 

« La folie transhumaniste.


 

Le développement de ce qui s’appelle la thérapie génique et dont font partie ces vaccins à mARN est en plein essor dans la plupart des industries pharmaceutiques et ceci pour raison très simple : le développement est extrêmement rentable.


 

Il est en effet extrêmement simple de générer des chaînes d’ARN, et la recherche se réduit à son plus simple aspect : balancer le gène qui va bien.


 

Un des points forts de ces thérapies, économiquement parlant, c’est qu’il est reproductible à l’infini. Une nouvelle pathologie ? On envoie un gène. Et pas seulement pour les pandémies virales : tous les traitements pourraient se voir gérés par un simple ajout génétique dans votre ADN. Sur le papier, cela semble prometteur. La réalité, c’est que plus vous injectez des gènes, plus vous modifiez votre code génétique. Vous êtes donc de moins en moins vous-même, et de plus en plus ce qu’on vous a injecté. Nous n’avons aucun recul sur cette pratique : les gènes une fois intégrés ne peuvent plus être supprimés. Vous conservez donc à vie un code génétique modifié, ce qui est d’autant plus vrai si vous avez ciblé les cellules souches de vos différents organes (ce sont les cellules qui remplacent les cellules qui meurent naturellement en se multipliant). Si vous ajoutez de plus en plus de gènes, il est impossible de connaître les conséquences à long terme, et les interactions entre eux. »


 

Tweet d’origine : https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1288371365674987520?s=21


 

https://www.mesopinions.com/petition/sante/interdiction-vaccins-ogm/98218#HeaderGestion

 

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