Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Ciel Voilé

Déclaration choc d'une députée française

3 Octobre 2020, 11:23am

Voir les commentaires

Stratégie pour vaccination obligatoire

3 Octobre 2020, 08:51am

Stratégie pour vaccination obligatoire


Le New England Journal of Medicine publie une «stratégie» pour les États sur la façon d'envisager les vaccinations obligatoires contre le COVID-19

Jeremy Loffredo – Le 2 octobre 2020


Un nouvel article du New England Journal of Medicine (NEJM), qui est connu pour être parmi les revues médicales les plus prestigieuses au monde, affirme que les gouvernements des États ont besoin d'une «stratégie» pour déployer le prochain vaccin COVID-19.


Préoccupés par le fait que seulement 51% des citoyens américains prévoient de se faire vacciner, les trois auteurs présentent un cadre pour les législateurs « pour aider à garantir l'adoption du vaccin lorsqu'il sera disponible», en mettant l'accent sur les « six critères de déclenchement » que les États devraient évaluer pour décider si un mandat de vaccin COVID-19 est nécessaire.


Une condition est la preuve que le COVID-19 présente une « menace permanente » pour l'État, expliquant que la menace pourrait être démontrée par « des tendances inquiétantes et soutenues dans les nouveaux cas, les hospitalisations ou les décès ».


Ils suggèrent également un « programme de compensation généreux pour les personnes qui ont des effets secondaires graves du vaccin ». La question de savoir pourquoi les gouvernements des États devraient imposer un vaccin dont ils s'attendent à induire des effets secondaires graves reste sans réponse dans l'article.


Les auteurs recommandent aux États d'introduire d'abord une offre de vaccin volontaire et si cela s'avère « infructueux », d'imposer une vaccination obligatoire. Cela est nécessaire car « les principes de l'éthique de la santé publique appuient l'essai de politiques moins lourdes avant de passer à des politiques plus lourdes. Cependant, la période de fourniture volontaire de vaccins « devrait être limitée à quelques semaines », écrivent-ils.


Les auteurs décrivent ensuite à quoi pourrait ressembler une vaccination obligatoire : chaque État rédigera sa propre législation, mais il pourrait également être approprié que le gouvernement fédéral oblige certains groupes à se faire vacciner. (Bien que le pouvoir constitutionnel de protéger la santé publique incombe principalement aux États, une urgence nationale déclarée en mars autorise de telles mesures fédérales liées au COVID-19.)


Ils soutiennent qu'une vaccination obligatoire imposée par l'Etat ne serait pas adéquate, mais que le non-respect de l'obligation devrait entraîner des « sanctions relativement importantes ».


Ils découragent les États d'introduire des sanctions pénales, afin de ne pas « inviter à des contestations judiciaires pour des motifs de procédure régulière », mais encouragent des sanctions telles que « la suspension de l'emploi ou les ordonnances de maintien au domicile ».


Il est intéressant de noter que si les auteurs découragent les amendes, concédant qu'elles « désavantagent les pauvres », ils n'ont pas de problème à soutenir que les gens perdent potentiellement leur emploi sauf s'ils accepent la vaccination.


Si les auteurs ne prévoient cette possibilité de sanctions que pour les personnes appartenant à des « groupes hautement prioritaires», la détermination de ceux qui sont jugés hautement prioritaires serait laissée aux autorités chargées de l'application, quelles qu'elles soient. Cela est particulièrement inquiétant si l'on considère que les pauvres sont plus susceptibles d'être considérés comme à haut risque pour contracter le COVID-19.


L'article du NEJM conclut en notant la nécessité pour les décideurs de l'État de renforcer la « confiance du public », afin de ne pas «[éveiller] le soupçon que des raisons de profit plutôt que de santé publique reposent sur de telles propositions [d'imposer une vaccination obligatoire].»
« Les fabricants de vaccins devraient rester à l'écart », écrivent-ils.


Cela pourrait s'avérer difficile, compte tenu de Moncef Slaoui, ancien dirigeant de GlaxoSmithKline (GSK), le conseiller scientifique en chef pour la quête d'un vaccin COVID-19 par le gouvernement américain, surnommé « opération Warp Speed ».


GSK est la plus grande multinationale de vaccins au monde en termes de chiffre d'affaires et était responsable de ce que le ministère de la Justice des États-Unis a appelé à l'époque le « plus important règlement de fraude en matière de soins de santé de l'histoire des États-Unis ». Slaoui détient actuellement environ 10 millions de dollars en actions GSK.


Et bien que les trois auteurs de l'article du NEJM n'aient divulgué aucun intérêt financier, il est significatif que les trois auteurs puissent être associés à la Fondation Gates - le « plus grand bailleur de fonds de vaccins au monde », autoproclamé.


L'auteur principal Michelle Mello, est originaire de l'Université de Stanford, qui a reçu jusqu'à présent 2,7 millions de dollars de la fondation Gates en 2020. Le co-auteur Ross Silverman est originaire de l'Université de l'Indiana, qui a reçu 3,4 millions de dollars de la Fondation Gates en 2020.


Et peut-être le plus frappant est le lien entre la fondation et le troisième auteur de l'article, Saad Omer, le premier directeur du Yale Institute for Global Health. Le groupe de recherche privé d’Omer est financé à la fois par la Fondation Gates et l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination, qui est intimement liée à la Fondation Gates et dont le plus grand bailleur de fonds privé est la Fondation Gates.
 

« Cet article est un plan révélateur - et horrible - pour l'imposition par l'industrie pharmaceutique de vaccinations obligatoires qui pourraient obliger des centaines de millions d'Américains réticents à se soumettre à une procédure médicale risquée avec des vaccins non fiables, mal testés et inefficaces », a déclaré Robert F. Kennedy , Jr., président de Children's Health Defense. "Le NEJM a une fois de plus confirmé l'avertissement de son ancienne rédactrice en chef Marcia Angell selon laquelle ce journal autrefois renommé est devenu un vaisseau de propagande pour Big Pharma."

 

 

 

Voir les commentaires

Robert Kennedy Berlin le 29 aout 2020

2 Octobre 2020, 21:45pm

Voir les commentaires

Québec : plus de visites amicales à domicile

2 Octobre 2020, 20:06pm

Québec : plus de visites amicales à domicile

Au Québec, les policiers peuvent entrer chez les habitants pour contrôler les mesures sanitaires

 

2 oct. 2020

Pour enrayer la pandémie au Québec, les habitants de la province canadienne ne peuvent plus accueillir d'invités. Les policiers peuvent obtenir d'un juge l'autorisation d'entrer dans les domiciles pour vérifier le respect des règles sanitaires. Lors d'une conférence de presse le 30 septembre, le Premier ministre québécois, François Legault, a informé ses citoyens qu'il était interdit à partir du 1er octobre d’accueillir chez soi des invités, c'est-à-dire des personnes vivant à une autre adresse.
 

 

 

 

 

Voir les commentaires

Priartem : communiqué de presse du 29 septembre 2020

2 Octobre 2020, 14:08pm

Priartem : communiqué de presse du 29 septembre 2020

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU 29/09/2020

Mardi 29 septembre marque une étape décisive dans le dossier 5G avec le lancement officiel par l’ARCEP de la procédure d’enchères des fréquences, permettant aux quatre opérateurs déjà assurés d’obtenir un accès minimal à la 5G, d’acquérir plus de fréquences.

Côté société civile, cette date symbolise l’incapacité de l’Etat à respecter les règles qu’il s’impose à lui-même en matière d’environnement et à tenir compte des attentes de la société.

Pour François Lafforgue, avocat des associations, « le dossier de la 5G est conduit en dépit du bon sens, s’affranchissant des règles de droit, prévoyant une évaluation environnementale. Faute d’évaluations sérieuses et malgré leurs alertes, les associations n’ont d’autres choix que de saisir le Conseil d’État ».

Pour Ginette Vastel, de France Nature Environnement, « il est maintenant clair que la Convention citoyenne sur le Climat qui a demandé un moratoire le temps d’évaluer la 5G, est totalement désavouée. Les maires demandant un débat ont été raillés. Dans ces conditions, comment croire encore à un dialogue environnemental honnête et contradictoire fondé sur des données objectives ? »

Sophie Pelletier, présidente de PRIARTEM, condamne l’inconséquence avec laquelle le volet sanitaire a été traité : « L’État contrevient aux recommandations de réduction des expositions aux ondes radiofréquences émises de longue date par son agence sanitaire.

Le rapport commandité dans l’urgence aux inspections cet été n’a d’autre objectif que de garantir une sorte d’immunité aux décideurs en concluant qu’il n’y a pas de risque avéré et que si des risques existent la preuve formelle sera difficile à établir ». Elle s’insurge contre ce pari fou à l’encontre de la santé de la population : « Effet suspecté sur les cancers, effet avéré sur l’activité cérébrale, normes inadéquates pour les enfants, personnes devenues électrosensibles vivant un enfer... pendant combien de temps encore servirons-nous de cobayes ? ».

Stephen Kerckove, délégué général d’Agir pour l’Environnement va plus loin : « Incapable de justifier ses choix technologiques et stratégiques dans le contexte de crise écologique autrement que par des arguments approximatifs voire mensongers, l’État passe en force en misant sur le dénigrement des voix s’y opposant. Aujourd’hui, il récolte une levée de boucliers y compris dans des milieux a priori technophiles ». Dans cette situation, les associations continuent à plaider pour un véritable débat public mené en toute indépendance. Elles appellent les citoyens et les maires à amplifier la mobilisation afin de bloquer le développement de la 5G tant qu’une évaluation sérieuse n’aura pas été conduite dans les règles de l’art.

Face à l’entêtement du gouvernement, les associations poursuivent leur action judiciaire devant le Conseil d’État, afin notamment d’obtenir la suspension, en référé, puis l’annulation de l’attribution des fréquences. Elles entendent obtenir une véritable évaluation environnementale permettant d’évaluer sérieusement les effets écologiques et sanitaires de la 5G.

 

P.R.I.A.R.T.EM - Association Loi de 1901
Boite 64 - 206 quai de Valmy - 75010 Paris
Tél : 01 42 47 81 54 - Fax : 01 42 47 01 65 - Contactez-nous
 

 

Voir les commentaires

Association Procès 5G France

2 Octobre 2020, 13:55pm

Commentaire reçu :

L'individu sur la vidéo est diplômé de Sciences Po Paris ( l'école qui détruit la nation) et de l'Ecole des Ponts ParisTech (vivier de startupers/licornes), Côme Girschig, 24 ans, a été désigné par les Nations unies (comme greta, marionnette mondialiste) pour représenter la France au premier sommet de la jeunesse pour le climat (complice de l'hoax climatique) à New York.


Il faut se faire représenter par des personnes intègres comme le sont Priartem ou robin des toits dans le domaine des ondes et pas par un pantin mondialiste.Il faut surtout choisir d'urgence de bons avocats ( plusieurs pour mieux enfoncer le clou) et diligenter la bonne procédure. Ce type d'expertise peut s'avérer très onéreux. Si c'est contre l'Etat, c'est la juridiction administrative, si c'est contre des sociétés civiles, c'est le tribunal de grande instance et il n'est pas facile de les convaincre de l'application du principe de précaution; d'où la nécessité de faire appel à de très bons avocats spécialisés en droit de l'environnement, et bons procéduriers. Il faut aussi demander de stopper dans l'urgence immédiatement toutes les installations d'antennes dans l'attente des résultats des expertises.

 
 

 

Voir les commentaires

Plus de file d'attente à l'IHU

2 Octobre 2020, 12:10pm

Voir les commentaires

Action collective en justice contre les restrictions Covid-19

2 Octobre 2020, 12:03pm

Voir les commentaires

300 scientifiques dénoncent les mesures gouvernementales disproportionnées

2 Octobre 2020, 10:38am

300 scientifiques dénoncent les mesures gouvernementales disproportionnées
Covid : dans une tribune, près de 300 scientifiques dénoncent les mesures gouvernementales "disproportionnées"


 

Dans une tribune publiée lundi sur le site de Médiapart, près de 300 scientifiques, médecins et universitaires critiquent les dernières restrictions décidées par le gouvernement contre le Covid et leurs effets "secondaires" dramatiques. Ils appellent à changer en urgence de stratégie sanitaire.

Publié le 29/09/2020 • Mis à jour le 01/10/2020

 

 

Le 10 septembre, ils étaient 35 à signer une première tribune "Nous ne voulons pas être gouvernés par la peur". Le docteur Fouché était déjà de ceux-là.

17 jours plus tard, ils sont près de 300 à clamer : " Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face au Covid-19." 

Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur à l’Hôpital de la Conception à Marseille (AP-HM) est à nouveau en tête des signataires de cette tribune publiée par Médiapart.

Des personnalités très médiatiques comme le Pr Jean-François Toussaint, le Pr Chritian Perronne, l’épidémiologiste Laurent Toubiana ou le philosophe André Comte-Sponville, côtoient des anonymes professionnels de santé, chercheurs mais aussi universitaires.

Une quinzaine de personnalités de la région PACA co-signent ce texte comme le sociologue Raphaël Liogier, professeur à l’Institut de Sciences Politiques d’Aix-en-Provence.

Porte-parole du collectif "Soignants pour une politique sanitaire juste et proportionnée" qui regroupe 400 médecins, chercheurs et soignants et citoyens, le Dr Fouché dénonce des "mesures disproportionnées". 

On maintient la peur et c’est surtout ça qui nous gêne.

Dr Louis Fouché anesthésiste-réanimateur

Le 23 septembre dernier, le ministre de la Santé a annoncé la fermeture des bars, restaurants et salles de sport dans la métropole d'Aix-Marseille en se basant sur les données de circulation du virus. Pour le docteur Fouché, le Covid masque les "défaillances du système hospitalier".

"Oui, il y a une tension hospitalière sur le nombre de soignants, de lits, etc. explique-t-il, mais cette situation n’est pas nouvelle, c’est lié à un sous-investissement dans l’hôpital public depuis une quinzaine d’années pour favoriser le secteur privé".

"Est-ce que l’hôpital est en tension à cause du Covid ? Je dis non, ajoute-il. La réalité, c’est qu’il y a eu un mort du Covid à Marseille ce week-end (NDLR 27 sur toute la France), alors qu’il y a en moyenne 1700 morts par jour en France, 450 morts de maladies cardio-vasculaires, 430 de cancers, 110 de maladies respiratoires, 27 suicides, 11 accidents de la route. C’est très disproportionné". 

Statistiques contre statistiques

Le médecin réanimateur estime qu'"on fait peser sur l’institution hospitalière l’ensemble de ces malades, or un certain nombre de ces malades ne sont pas là forcément pour le Covid".

"Les six derniers malades de la réanimation chez moi, trois avaient un Covid positif, et étaient comptés dans les statistiques Covid positifs. Mais en fait, ils étaient malades d’autre chose, un choc septique sur une pneumonie à bacille pyocyanique, un œdème aigü du poumon, un lymphome en cours d’induction de chimiothérapie…" explique-t-il.

"On fait dire aux chiffres des choses qui ne sont pas vrais, affirme-t-il. On fait dire à ces gens positifs qu’ils sont tous malades de la maladie Covid qu’on a vue au mois de mars, ce n’est pas vrai. Et je ne peux pas croire qu’on soit la seule réa dans ce cas-là. Ça veut dire qu’il y a environ 30% au moins des patients qui ne sont pas malades de la Covid."

Pour LouisFouché, il y a une raison à cela.

C’est un chantage aux ressources.

"Quand Olivier Véran vient à Marseille, pourquoi vient-il ? En gros, il vient donner de l’argent si on continue la narration de la peur et il vient faire un espèce de chantage consistant à dire "je ne nourris l’hôpital public que si vous continuez à faire ce que je vous dis sans discuter". Et les gens s’alignent pour maintenir l’institution et continuer de soigner les gens".

Louis Fouché ne nie pas la recrudescence du nombre de cas positifs. Mais, dit-il, c'est parce qu'' on voit ce qu’on s’est interdit de voir en mars par une politique de tests qui n’étaient pas adaptée à l’époque."

La menace d'un reconfinement 

Pour le praticien, il faut arrêter l'organisation de ces dépistages massifs, et se limiter aux tests sur prescription "quand on a un doute, après avoir vu un médecin". 

On ne peut pas cantonner une maladie virale c’est une illusion.

La menace d’un reconfinement brandie par le ministre de santé est selon lui une façon de "reprendre le contrôle sur les gens par la menace". "Ça jugule toute contestation, c’est tyrannique, anti-démocratique et ça n’est pas proportionné aux risques de cette épidémie de Covid", assène-t-il.

Selon le docteur Fouché, les restrictions prises rendraient le remède pire que la maladie.

"La volonté de la cantonner actuellement, c’est de ne pas mettre en tension le système hospitalier. Et on fait peser sur la population générale des mesures extrêmement liberticides et qui divisent et qui ont plein de dommages collatéraux alors que c’est la politique de gestion du système de santé qui est défaillante."

Des effets collatéraux dévasteurs

"On est en train de casser le lien social, de le disloquer en prenant la proie pour l’ombre" s'inquiète le médecin marseillais. 

"Il faut protéger les plus fragiles et ce n’est pas par la politique sanitaire actuelle qu’on les protège, au contraire. Il faudrait d’arrêter les masques dans les écoles, d’arrêter les masques à l’extérieur, d’arrêter les tests en population générale parce que tout cela procède d’une imposture et tout le monde le sait".

L’urgence, affirme-t-il, "c’est de protéger les plus fragiles, ça veut dire donner aux gens qui ont peur, aux gens qui ont une immuno-dépression sévère , ceux qui sont hypertendus, obèses, diabétiques, ou avec des comorbidités sévères, c’est ceux-là qui font les formes graves et on les connaît. Il faut leur donner des FFP2 et qu’ils les portent et pas faussement les rassurer avec un masque chirurgical qui ne les protège pas. Et laisser le reste de l’épidémie circuler pour que l’immunité collective se fasse."

Laure Farnault, hématologue-immunologue à Marseille, partage cette analyse. Elle aussi a signé la tribune. Elle tient à préciser qu'elle exprime de son point de vue et non au nom de l'institution.

Dans son service, elle a vu les conséquences des choix faits ces derniers mois. 

"En post-confinement dans mon service d’hématologie, j’ai vu arriver des patients avec des diagnostics qu’on a jamais vus, ils sont tous bien restés confinés chez eux pendant trois mois et ils pensaient que dans le monde il n’y avait que le Covid. 

 

 

 

Voir les commentaires

Interview de Stop 5G Montpellier

2 Octobre 2020, 10:33am

Voir les commentaires

<< < 10 11 > >>