« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
Vaccination : à qui la population peut-elle vraiment faire confiance ?
Témoignages exclusifs sur les refus de soin par l’administration
Nicole Delépine Le 18 septembre 2021
SOINS ANNULÉS PAR L’ADMINISTRATION POUR CAUSE DE PASSE DIT SANITAIRE
De nombreuses familles racontent des refus de soins à l’entrée de la clinique ou de l’hôpital public gardés par des vigiles. Pourtant ces derniers n’ont pas le droit de voir les papiers d’identité des demandeurs et donc la vérification du passe sanitaire n’est qu’une lutte d’influence, une manipulation.
Certains plus solides que d’autres arrivent avec un avocat ou un huissier, refusent de partir et demandent qu’un directeur ou en tous cas un responsable les rejoigne et montre les décrets ou circulaires qui justifieraient de refuser à Madame X. de venir faire sa chimiothérapie prévue (donc non urgente vue par un énarque) ou de venir accoucher sur rendez–vous prévu… Tant pis pour les pertes des eaux précoces, le bébé attendra ou verra le jour dans la voiture du père ou de l’ambulancier.
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Réinfocovid – Le 17 septembre 2021
A RETENIR
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Les études de toxicités des nanoparticules d’oxyde de graphène ne permettent pas encore une application pratique dans le domaine des médicaments, des vaccins ou des dispositifs médicaux.
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L’élimination rapide par le système immunitaire des nanoparticules d’oxyde de graphène rend difficilement possible la thèse d’une administration frauduleuse.
Il a circulé récemment sur les réseaux sociaux des allégations sur la présence non déclarée de nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19 (voir encadré). Certains sont même allés jusqu’à évoquer son utilisation (frauduleuse donc) pour une connexion des individus à la 5G et ont proposé des méthodes de détoxification au glutathion, N acétylcystéine (acides aminé précurseur du glutathion endogène), Zinc et autres [1]. Ricardo Delgado de La Quinta Columna [2] affirme avoir fait réaliser par des chercheurs espagnols des études observationnelles de doses de vaccin par microscopie optique et électronique, allant jusqu’à affirmer avoir dosé 747 ng de graphène. Certains sites vont jusqu’à affirmer que cette substance serait également présente dans les tests PCR, antigénique et les masques [3]. Mais il n’existe à ce jour aucune publication revue par des pairs.
Cet article tente de faire le point sur les propriétés physico chimiques, l’état de la recherche et les applications industrielles en cours, particulièrement dans les vaccins, la toxicité et la réglementation actuelle au sujet des nanoparticules d’oxyde de graphène afin de démêler le faux du vrai.
Salariés suspendus : petit guide pratique sur que faire et comment faire
Éric Verhaeghe Le 17 septembre 2021 – Le courrier des stratèges
En application des dispositions de l’article 14 de la loi du 5 août 2021, à compter du 15 septembre 2021, les salariés soumis à l’obligation vaccinale ne peuvent plus exercer leur activité s’ils n’ont pas présenté un « certificat de statut vaccinal » ou un « certificat de rétablissement ». Ils encourent la suspension de leur contrat de travail accompagnée de l’interruption du versement de leur rémunération. Ils se trouvent ainsi placés dans une situation très inconfortable : non payés mais non licenciés, et donc sans accès aux allocations chômage, ils sont privés de ressources pour une durée indéterminée[1].
Comment passer à l’offensive quand on est un employé suspendu ?
Il leur faut passer à l’offensive pour sortir de cette nasse soit en cherchant à obtenir la reprise de versement du salaire, soit en cherchant à provoquer une rupture du contrat alternative à la démission. Les deux objectifs peuvent être complémentaires. Si un juge ordonne la reprise du paiement du salaire au salarié suspendu, l’employeur sera fort tenté de rompre son contrat de travail.
Première victoire des anti-passe sanitaire au tribunal administratif contre un maire abusif
Éric Verhaeghe 17 septembre 2021 – Le courrier des stratèges
« Hommage aux héros français du 15 septembre 2021 » et « Anatomie d’un effondrement sanitaire et sociétal »
Jean-Dominique Michel - Le 18 septembre 2021
Il est vrai qu’Ariane, contrairement aux abrutis qui, la panse pleine, se réjouissent d’avoir récupéré leurs droits (et tant pis pour les autres, z’avaient qu’à se faire ‘acciner, s’pas ?!) sait de quoi elle parle. Ses Chroniques, publiées par L’Antipresse et accessibles sur son propre site, constituent la pensée experte (l’auteure est docteure en psychopathologie) la plus compétente que je connaisse sur ce que nous vivons.
Elle dédie cet épisode à la « mémoire de mon arrière-grand-père Jacques-André Girolami, officier de l’Etat-Major français, chevalier de la Légion d’Honneur (1924), qui renonça à son titre de Général, en refusant de servir le gouvernement de Pétain. »
Je fais suivre son texte de la présentation que j’ai donnée ce jour dans le cadre du Congrès de l’AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique, Indépendante et Bienveillante) sur le thème : « Anatomie d’un effondrement sanitaire et sociétal ». Maintenant que nous savons que cette « crise » n’a en réalité rien de sanitaire, nous avons à nous intéresser à ce dont elle est à la fois la manifestation et le symptôme. Et là, comme diraient les psychanalystes : « Ça parle ! »