« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
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Australie : demande d'une commission d'enquête Covid - un médecin
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L’affaire von der Leyen
Réseau Voltaire – Le 1er avril 2024
• Le lobbyiste belge Frédéric Baldan a déposé une plainte pénale contre la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, le 5 avril 2023, pour « usurpation de fonctions et de titre », « destruction de documents publics », « prise illégale d’intérêts et corruption ». Par la suite, la Hongrie et la Pologne s’y sont joints. Cependant, à l’initiative du nouveau Premier ministre polonais, Donald Tusk, Varsovie a annoncé retirer sa plainte.
☞ La Hongrie et la Pologne sont simultanément poursuivies par Pfizer, cette fois pour non-paiement des doses commandées en leur nom par la Commission européenne. Le tribunal de Bruxelles a rendu un premier jugement provisoire le 3 avril 2023 et doit se prononcer maintenant sur le fond.
• Frédéric Baldan est proche de l’association Bons sens de Xavier Azalbert (France Soir) et du professeur Christian Perronne. Son accréditation de lobbyiste lui a été retiré par la Commission quelques heures après qu’il eut donné une conférence de presse avec la députée européenne (aujourd’hui décédée) Michèle Rivasi.
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https://www.voltairenet.org/article220657.html
Albert Bourla, un vétérinaire auprès de Von der Leyen
France-Soir Publié le 30 mars 2024 – 09:51
PORTRAIT CRACHE - De l’anonymat à la coqueluche des médias, l’ascension d’Albert Bourla pour devenir, en quelques mois, le “porte-étendard” de la lutte contre la COVID-19, est fulgurante. Mais derrière cette ascension se dessine un portrait plus que nuancé, voire celui d'un opportuniste dont les méthodes flirtent parfois avec les limites de l'éthique et de la morale, borderline comme on dit chez les anglo-saxons. Alors que la pandémie s'éloigne, il ne reste à ce PDG que des procès en perspective, des revenus en déclin, et une Von der Leyen dont le fard à paupières fond comme ses chances d’être renouvelée grand vizir.
Bon élève et passionné par les animaux, il en faut dans les labos, Albert Bourla, né Alvertos et issu d’une famille juive en Grèce, obtient un diplôme de vétérinaire puis un doctorat à l’université Aristote de Thessalonique en 1985. Il ne rejoint le groupe Pfizer qu’en 1993, comme docteur vétérinaire et directeur technique de la division animale, située à Athènes. Son ascension est fulgurante. Il est d’abord chargé de l’Europe et de l’Afrique, puis de l’Asie et de l’Océanie. Il tient quelques rôles exécutifs dans plusieurs divisions du groupe pharmaceutique et devient membre de plusieurs conseils. Après un tour dans cinq pays et une huitaine de villes, il se rend à New York pour rejoindre le siège social de Pfizer.
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Les enfants âgés de 2 à 5 ans présentent un taux plus élevé de convulsions après les injections d’ARNm COVID
Brenda Baletti – Le 29 mars 2024
Selon les chercheurs de la FDA, le taux plus élevé de convulsions fébriles provoqué par les vaccins COVID-19 à ARNm "n'est pas important par rapport à d'autres vaccins et combinaisons de vaccins" qui peuvent provoquer des convulsions à des taux plus élevés.
Les enfants âgés de 2 à 5 ans ayant reçu le vaccin à ARNm COVID-19 présentaient un risque accru de convulsions fébriles immédiatement après la vaccination, selon une nouvelle étude dirigée par des chercheurs de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.
L’étude a montré que les enfants ayant reçu la piqûre Moderna étaient 2,5 fois plus susceptibles de présenter une crise fébrile dans la journée suivant la vaccination qu’entre 8 et 63 jours après la vaccination.
Le rapport des taux d’incidence était “significativement élevé”, écrivent les chercheurs, mais le “risque absolu”, c’est-à-dire le risque d’avoir une crise d’épilepsie à la suite de la vaccination, était faible au cours du premier jour suivant la vaccination.
Les chercheurs de la FDA ont également constaté un risque plus élevé de convulsions fébriles chez les enfants âgés de 2 à 4 ans le premier jour suivant la vaccination par Pfizer que dans les 8 à 63 jours suivant la vaccination. Toutefois, ce risque accru n’était pas statistiquement significatif, selon les chercheurs.
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Pierre Kori : covid, actions en justice des victimes
Texas : victoire pour l'Ivermectine le 21 mars 2024
Selon un député britannique, les turbo-cancers sont prévus
La FDA perd sa guerre contre l'ivermectine, elle devra supprimer tous ses posts et directives incitant à arrêter la prescription d’ivermectine pour prévenir et traiter le COVID-19
France-Soir Publié le 26 mars 2024 - 10:39
Dr Pierre Kory, Président et Chief Medical Officer de FLCCC revient dans ce debriefing sur l’accord transactionnel obtenu avec la FDA (Federal Drug Administration) au sujet de la prescription d’ivermectine dans le cadre de la prévention et du traitement de la covid.
C’est par un communiqué de presse que FLCCC (Front Line COVID-19 Critical Care Alliance) a annoncé qu’un règlement avait été conclu entre la Food and Drug Administration (FDA) et les plaignants dans une affaire révolutionnaire déposée devant un tribunal fédéral pour décider si la FDA a violé son autorité en tant qu’agence fédérale de santé en disant au public d’arrêter de prendre de l’ivermectine, un médicament sûr, bien étudié et éprouvé pour la prévention et le traitement du COVID-19.
Dans le règlement, la FDA a accepté de supprimer les publications sur le site Web et les médias sociaux qui font des déclarations sur l’utilisation de l’ivermectine pour le COVID-19. Sa publication la plus connue étant celle expliquant que "vous n'êtes pas un cheval, vous n'êtes pas une vache, soyez sérieux, arrêtez"
« Nous sommes extrêmement satisfaits du résultat de l’accord, car il s’agit d’une victoire pour tous les médecins et tous les patients des États-Unis », a déclaré Paul E. Marik, M.D., FCCM, FCCP, plaignant dans l’affaire, directeur scientifique de la FLCCC Alliance (FLCCC)
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